Le troisième ligne fait ici référence aux cas du pilier de Albi en Pro D2, Kakhaber Koberidze, temporairement écarté de l'effectif puis condamné à 18 mois de suspension, et celui du talonneur Gino Casagrande, pensionnaire de Beaune en Fédérale 2, qui a écopé de trois ans après un contrôle positif à un produit interdit. Deux affaires récentes qui ont quelque peu écorché l’image du rugby sans pour autant créer la polémique. Soit tout le contraire des déclarations de l’ancien entraîneur de l’Aviron bayonnais. Des propos qui ont eu le mérite d’agacer The Caveman : « Il est toujours là pour la ramener parce qu’il est toujours à contre-courant de tout le monde. Je trouve ça pitoyable, pathétique. Je me demande si on ne lui a pas filé des ronds pour qu’il ouvre sa gueule. »
Selon lui, faire ce type d’aveux « ne grandit pas [son] sport ». « Je suis désolé pour Jean-Baptiste, son fils, que j’apprécie, de dire ça. Je le regarde des fois dans une émission de rugby. Il est souvent à contre-courant de tout le monde en disant n’importe quoi. Là, c’est le pompon. » Si Jean-Pierre Elissalde a évoqué son cas personnel, Chabal lui reproche cependant d’avoir fait une généralité comme d’autres ont pu le faire également, et notamment dans la presse : « Il faut accepter qu’il y ait du dopage. C’est la réalité dans tous les sports. Mais lui a fait comme la majorité des journalistes, qui ont pris les chiffres sans les décortiquer. Il a dit n’importe quoi. Je trouve ça grave et pathétique. »