À quoi ressemblera votre équipe-type de la décennie, en Top 14 ? Jusqu’au nouvel an, on vous propose de sélectionner - poste par poste - les meilleurs joueurs passés par notre championnat, de 2010 à 2019. Durant cette période, six équipes ont soulevé le bouclier de Brennus, de Clermont à Toulouse en passant par Castres, Toulon, le Stade Français et le Racing 92.
Top 14 - Votez pour le pilier droit de la décennie !On termine notre revue d’élite avec les talonneurs, et une pré-sélection subjective effectuée par la rédaction. Mais le résultat final vous revient, sous la forme d’un sondage en fin d’article. Alors, à vos votes !
- Votez pour les arrières ici
- Votez pour les ailiers ici
- Votez pour les centres ici
- Votez pour les n°10 ici
- Votez pour les n°9 ici
- Votez pour les n°8 ici
- Votez pour les flankers ici
- Votez pour les 2e ligne ici
- Votez pour les piliers gauches ici
William Servat
- Toulouse
Champion de France 2011, champion de France 2012, son vrai/faux retour… S’il n’a joué qu’au début de la décennie, difficile de ne pas citer William Servat pour tout ce qu’il a apporté au Stade Toulousain. Le meilleur de la première partie de la décennie, assurément.
Benjamin Kayser
- Stade Français, Castres, Clermont
Son retour raté à Paris début 2010 ? Oublié, grâce à une longévité qui force le respect. D’abord à Castres, mais surtout à Clermont, où Kayser a disputé trois finales de Top 14. Soulevant un Brennus mérité en 2017.
Guilhem Guirado
- USAP, Toulon, Montpellier
Comme Mas, il a vécu la descente de l’USAP en Pro D2. Ce qui peut lui être préjudiciable à l’heure du bilan. Finaliste du Top 14 en 2010 (Perpignan) et 2016 (Toulon), il n’a pas non plus soulevé le Brennus lors de cette décennie.
Bismarck Du Plessis
- Montpellier
Individuellement, peut-être le meilleur talonneur à avoir foulé les pelouses du Top 14 ces dix dernières années. S’il a symbolisé l’ère “afrikaner” du MHR, Bismarck du Plessis a enchaîné les bons matchs, notamment lors de la saison 2017/2018, que Montpellier a terminé en finale. Une défaite au bout face à Castres...
Dimitri Szarzewski
- Stade Français, Racing 92
L’éternel second en équipe de France a toujours été un patron en club. En 2012, il quitte le Stade Français pour l’ambitieux rival du Racing 92. Depuis, le club parisien a gagné plus de trophées, mais les deux formations sont à égalité en termes de Brennus. Szarzewski l’a soulevé en 2016, avant de prendre sa retraite cet été.
Sébastien Bruno
Comme Servat, il n’a joué que durant la première partie de la décennie. Mais sa fin de carrière a été auréolé d’un titre de champion de France (2014) avec la Dream Team du Rugby Club Toulonnais. Un Brennus qui intervient après deux finales perdues jouées par Sébastien Bruno, qui aura rendu de fiers services aux Varois.
Jody Jenneker
Découvert par le LOU à Dijon, il se révèle surtout à Oyonnax, avec qui il monte en 1ère division. Et fait partie de la bande à Urios qui déjoue tous les pronostics jusqu’aux phases finales. La suite ? Castres pour quatre saisons, avec un titre de champion en 2018. Une menace de tous les instants sur le terrain.