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7 astuces pour vibrer devant les phases finales quand ton club préféré n'est pas qualifié

Votre club préféré n'est pas qualifié pour les phases finales ? Pas de panique, on a la solution pour vous !

Clément Suman 16/06/2021 à 17h00
7 astuces pour vibrer devant les phases finales quand ton club préféré n'est pas qualifié.
7 astuces pour vibrer devant les phases finales quand ton club préféré n'est pas qualifié.

Toulouse, le Racing 92, Bordeaux-Bègles, La Rochelle. Et surtout dix autres équipes, qui ne soulèveront donc pas le Brennus, à l’issue de cette saison. Les phases finales sont une fête, sauf que les videurs du TOP 14 sont plutôt difficiles à convaincre…

Mais supporters castrais, clermontois, toulonnais ou agenais, voici quelques astuces pour vibrer devant ces demi-finales.

Un ancien chouchou sur le terrain

On a tous des joueurs qu’on apprécie un peu plus que la moyenne. Encore plus quand ils évoluent dans notre club préféré. Sauf que dans le rugby pro, il est rare de voir un joueur rester fidèle à un seul maillot. Ce qui ne veut pas dire qu’on oublie son ancien chouchou, ni qu’on doit s’interdire de soutenir (discrètement) une autre équipe...

  • L’exemple : un supporter agenais vibre pour La Rochelle et Brice Dulin.

Voir le rival tomber 

Cruel mais jouissif. Oui, les rivalités font partie du folklore rugbystique. Et se réjouir de l’élimination de l’ennemi ancestral n’est pas très classe, mais on va dire que c’est tout de même un petit plaisir... Il n’y a qu’à voir les cousins du football, où les supporters de l’Olympique de Marseille ne trouvent le bonheur qu’à travers les défaites du Paris Saint-Germain.

  • L’exemple : un supporter du Stade Français vibre après une démonstration rochelaise face au Racing 92 (et un mauvais match de Gaël Fickou)

C’est l’équipe de papa, maman, du copain, de la copine…

Le rugby est le sport collectif par excellence. Alors pourquoi ne pas la jouer collective, au moment d’encourager l’équipe préférée de ses proches ? Les valeurs qu’on aime.

  • L’exemple : tu as grandi à Perpignan, donc tu supportes l’USAP mais ton père a, lui, grandi du côté de Toulouse. Tu vas donc vibrer à ses côtés pour encourager les Rouge et Noir.

Ce que tu aimes, c’est l’apéro

Que Toulouse gagne, que La Rochelle soulève son premier Brennus… Bof, toi, tu es surtout venu pour la pizza, la bière (avec modération) et l’intention de te caler pendant deux heures au fond du canapé ou au bar avec tes amis. Le meilleur moyen de vivre en match, n’en déplaise aux amoureux des bandas reprenant les tubes de Lady Gaga.

  • L’exemple : les rédacteurs du Rugbynistère qui sont bien sûr impartiaux mais aiment la pizza à l’ananas et les chips.

Aller au Stade (de France)

Bon, on n’est pas bien difficile non plus : c’est franchement cool d’aller au stade, et ça nous manque après cette année de galère. Même si ton équipe n’est pas qualifiée, tu peux chanter, crier et profiter de la ferveur des passionnés qui, eux, sont premier degré pendant le match de leur club favori. Avec un peu de chance, tu seras assis avec les vainqueurs du jour.

  • L’exemple : le supporter de Clermont qui a pris ses billets avant l’élimination de son club mais qui monte à Paris (Saint-Denis) pour manger au Quick du Stade de France et faire la Ola pendant 80 minutes. 

Pas de stress…

Imaginez le stress du côté biarrot et bayonnais, samedi. Barrage d’accession. Égalité au tableau d’affichage. Prolongations, puis tirs au but… Dingue. Maintenant, imaginez la même chose, mais comme un supporter “lambda” : vous pouvez profiter d’un scénario exceptionnel, sans avoir à vérifier vos aisselles toutes les cinq minutes. Chill.

  • L’exemple : le supporter agenais devant n’importe quel autre match que ceux de son équipe cette saison.

Fort Boyard is back

Ton club n'est pas présent ? C'est en fait l’excuse parfaite pour couper, et ne pas t'infliger la réussite des autres. Il n’y a pas que le ballon ovale dans la vie ! Il y a même mieux, dès ce samedi, avec le grand retour de Fort Boyard. Olivier Minne, Félindra tête de tigre et un joli combat pour l’association EndoFrance : de quoi vibrer, messieurs, dames !

  • L’exemple : le supporter agenais, dégoûté du rugby après cette saison pourrie.

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