Le Biarritz Olympique a trouvé un moyen innovant pour faire appel à des sponsors : la vente aux enchères. Une première à ce niveau qui consistera en la vente aux enchères d'un espace publicitaire sur le maillot du club basque. Une opération que le BO effectuera en partenariat avec le site internet Sponsorise.me.
Le principe est simple : Jeudi 17 Mai entre 17 heures et 19 heures, les deux partenaires vont commercialiser le maillot. Les entreprises qui se seront inscrites à la vente (avant le 10 Mai) pourront faire des offres afin de faire figurer leur nom sur le dos du maillot du BO, le lendemain pour la finale de la Amlin Cup contre Toulon. A condition de proposer un prix supérieur à 5000 euros, le montant de départ fixé par le club.
Serge Blanco, le président du BO, explique sur cette initiative : « la mise en place de cette opération avec Sponsorise.me nous séduit car elle permet de nous ouvrir à d’autres partenaires potentiels que ceux de notre premier cercle. Attention, ce n’est pas une offre bradée, la somme de 5000 euros est une somme de mise de départ, nous espérons plus, mais nous savons le « risque » que nous prenons. […] Mais c’est une vraie opportunité. C’est dans les périodes de difficulté économique qu’il faut être innovant ».
Le principe est simple : Jeudi 17 Mai entre 17 heures et 19 heures, les deux partenaires vont commercialiser le maillot. Les entreprises qui se seront inscrites à la vente (avant le 10 Mai) pourront faire des offres afin de faire figurer leur nom sur le dos du maillot du BO, le lendemain pour la finale de la Amlin Cup contre Toulon. A condition de proposer un prix supérieur à 5000 euros, le montant de départ fixé par le club.
Serge Blanco, le président du BO, explique sur cette initiative : « la mise en place de cette opération avec Sponsorise.me nous séduit car elle permet de nous ouvrir à d’autres partenaires potentiels que ceux de notre premier cercle. Attention, ce n’est pas une offre bradée, la somme de 5000 euros est une somme de mise de départ, nous espérons plus, mais nous savons le « risque » que nous prenons. […] Mais c’est une vraie opportunité. C’est dans les périodes de difficulté économique qu’il faut être innovant ».