L’on sait tout le mal qu’a la sélection italienne à constituer une ligne de trois-quarts qui soit au niveau de son pack, et une charnière plus précisément. Si l’idée de ramener le jeune James Ambrosini dans la botte fait son chemin, Julien Caminati, le Briviste pourrait vite entrer dans les petits papiers de la FIR. Dans un entretien accordé à Midi Olympique, l’intéressé se confie : « S’ils m’appellent un jour, j’en serais très heureux, mais je n’ai pas la prétention de m’annoncer en équipe d’Italie. » Sa présence pourrait être d’un bénéfice énorme pour les Transalpins, puisqu’il peut couvrir tous les postes de la ligne d’attaque.
Lui, qui a un passé aussi tumultueux que sulfureux, assure aussi avoir appris de ses erreurs passées, à commencer par la bagarre à Toulouse que nous vous avions révélé, et qui a pris des proportions considérables. « Quand tu vas boire un coup et que tu te fais insulter, tu ne peux pas te permettre de répondre. Quand tu évolues en Fédérale 1, tu peux t’embrouiller en soirée, personne n’en parle. Maintenant, je ne peux plus. C’est bon, j’ai compris » explique-t-il. Oui, car le joueur a joué en Fédérale 1, à Nice, avant de se voir offrir une nouvelle chance pour le rugby professionnel par Ugo Mola. Julien Caminati a depuis parcouru du chemin, au point de pouvoir être international…
Lui, qui a un passé aussi tumultueux que sulfureux, assure aussi avoir appris de ses erreurs passées, à commencer par la bagarre à Toulouse que nous vous avions révélé, et qui a pris des proportions considérables. « Quand tu vas boire un coup et que tu te fais insulter, tu ne peux pas te permettre de répondre. Quand tu évolues en Fédérale 1, tu peux t’embrouiller en soirée, personne n’en parle. Maintenant, je ne peux plus. C’est bon, j’ai compris » explique-t-il. Oui, car le joueur a joué en Fédérale 1, à Nice, avant de se voir offrir une nouvelle chance pour le rugby professionnel par Ugo Mola. Julien Caminati a depuis parcouru du chemin, au point de pouvoir être international…