Depuis quelques jours maintenant, une triste affaire occupe une partie de l’actualité du journal Sud-Ouest, celle de la maladie de deux jeunes joueurs de rugby, atteints d’un cancer. L’enquête, confiée au Pôle Santé du parquet de Paris, a pour objectif de déterminer si ces cas de cancers ont pour cause l’utilisation d’une créatine fortement dosée.
Aujourd’hui, l’un des joueurs atteints accepte de livrer son témoignage sur le drame qui le touche mais souhaite rester anonyme. Au CA Brive depuis l’été 2011, où est également passé l’autre victime de la maladie avant de repartir au C.A. Sarlat Périgord Noir, il refuse de faire un lien entre son état de santé et la prise de créatine : « Je souffre d’un cancer des ganglions. J’ai fait de la chimiothérapie et mis à part la perte de mes cheveux, je vais bien. Les enquêteurs sont venus, m’ont expliqué la situation, mais je leur ai dit que je ne me sentais pas concerné par cette histoire. Certes, j’ai essayé une fois, comme tout le monde, de la créatine, mais c’est tout. En plus, je fais 80 kg, je suis grand et sec… »
Le joueur a également tenu à démentir toute pratique collective au CAB : « Je vous assure qu’au CAB, personne n’organise quoi que ce soit. Je dis ça pour éviter que des raccourcis soient faits. Il s’agit de démarches personnelles dont je ne fais pas partie. C’est pourquoi, cette créatine n’a pas été retrouvée chez moi ». Contrairement à l’autre joueur victime d’un cancer.
Enfin, l’enquête porte désormais sur deux autres joueurs « à cheval entre l’Aquitaine et le Limousin », selon l’Institut de veille sanitaire à Bordeaux.
Aujourd’hui, l’un des joueurs atteints accepte de livrer son témoignage sur le drame qui le touche mais souhaite rester anonyme. Au CA Brive depuis l’été 2011, où est également passé l’autre victime de la maladie avant de repartir au C.A. Sarlat Périgord Noir, il refuse de faire un lien entre son état de santé et la prise de créatine : « Je souffre d’un cancer des ganglions. J’ai fait de la chimiothérapie et mis à part la perte de mes cheveux, je vais bien. Les enquêteurs sont venus, m’ont expliqué la situation, mais je leur ai dit que je ne me sentais pas concerné par cette histoire. Certes, j’ai essayé une fois, comme tout le monde, de la créatine, mais c’est tout. En plus, je fais 80 kg, je suis grand et sec… »
Le joueur a également tenu à démentir toute pratique collective au CAB : « Je vous assure qu’au CAB, personne n’organise quoi que ce soit. Je dis ça pour éviter que des raccourcis soient faits. Il s’agit de démarches personnelles dont je ne fais pas partie. C’est pourquoi, cette créatine n’a pas été retrouvée chez moi ». Contrairement à l’autre joueur victime d’un cancer.
Enfin, l’enquête porte désormais sur deux autres joueurs « à cheval entre l’Aquitaine et le Limousin », selon l’Institut de veille sanitaire à Bordeaux.