Les hommes du match de chaque rencontre du Tournoi des 6 Nations étaient nominés pour le titre de meilleur joueur du Tournoi. Et sans surprise, c’est un représentant de l’équipe du Pays de Galles, vainqueur du Grand Chelem, qui remporte le trophée : le troisième ligne aile Dan Lydiate.
Deux fois homme du match, face à l’Ecosse puis face à la France, il devance avec 25% des 30 000 suffrages exprimés l’irlandais Jonathan Sexton (12%) et l’italien Sergio Parisse (11,6%). Le joueur de 24 ans se voit ainsi récompenser pour son activité défensive impressionnante, matérialisée par des plaquages à la pelle. Visiblement heureux, il avoue : « je ne m’y attendais pas, pour être honnête. J’ai regardé le trophée, il y a Shane Williams ou Brian O’Driscoll dessus. Des légendes du rugby. C’est un très grand honneur pour moi ».
Sam Warburton, capitaine de la sélection galloise, lui a rendu hommage : « Son match contre la France a été phénoménal. Il avait déjà fait de tels matchs mais n’avait jamais bénéficié d’une telle reconnaissance. Quand on regarde les statistiques d’après match, on comprend son travail en défense. Je n’ai jamais vu quelqu’un de si marqué après un match. Son corps est durement touché. Mais pendant le match, il ne sent jamais la douleur. Il a le cœur d’un lion »
Deux fois homme du match, face à l’Ecosse puis face à la France, il devance avec 25% des 30 000 suffrages exprimés l’irlandais Jonathan Sexton (12%) et l’italien Sergio Parisse (11,6%). Le joueur de 24 ans se voit ainsi récompenser pour son activité défensive impressionnante, matérialisée par des plaquages à la pelle. Visiblement heureux, il avoue : « je ne m’y attendais pas, pour être honnête. J’ai regardé le trophée, il y a Shane Williams ou Brian O’Driscoll dessus. Des légendes du rugby. C’est un très grand honneur pour moi ».
Sam Warburton, capitaine de la sélection galloise, lui a rendu hommage : « Son match contre la France a été phénoménal. Il avait déjà fait de tels matchs mais n’avait jamais bénéficié d’une telle reconnaissance. Quand on regarde les statistiques d’après match, on comprend son travail en défense. Je n’ai jamais vu quelqu’un de si marqué après un match. Son corps est durement touché. Mais pendant le match, il ne sent jamais la douleur. Il a le cœur d’un lion »