Rien ne va plus à Montpellier. La crise intestine qui règne depuis quelques semaines dans l'administration héraultaise n'est pas loin d'atteindre aujourd'hui son paroxysme.
D'un côté nous avons l'Association, qui digère toujours très mal l'annonce du licenciement de 11 personnes dans l'organigramme montpelliérain. Elle menace de ne pas signer la convention qui la lie avec la SASP (ce qui pourrait entraîner une relégation en Fédérale 1 !) si la situation ne s'améliore pas rapidement.
De l'autre on retrouve Mohed Altrad, l'actionnaire majoritaire à l'origine du plan social qui déchaîne les passions. Le syrien d'origine est inflexible sur ses choix et décisions concernant son club, et pourrait quitter purement et simplement le MHR s'il n'obtient pas satisfaction, rapidement lui aussi.
Autrement dit, la situation est plus que bloquée dans le 3-4. Le DNACG, l'inspection du travail voire même les forces de l'ordre pourraient toutefois venir "aider" les deux parties à s'entendre. Ambiance...
D'un côté nous avons l'Association, qui digère toujours très mal l'annonce du licenciement de 11 personnes dans l'organigramme montpelliérain. Elle menace de ne pas signer la convention qui la lie avec la SASP (ce qui pourrait entraîner une relégation en Fédérale 1 !) si la situation ne s'améliore pas rapidement.
De l'autre on retrouve Mohed Altrad, l'actionnaire majoritaire à l'origine du plan social qui déchaîne les passions. Le syrien d'origine est inflexible sur ses choix et décisions concernant son club, et pourrait quitter purement et simplement le MHR s'il n'obtient pas satisfaction, rapidement lui aussi.
Autrement dit, la situation est plus que bloquée dans le 3-4. Le DNACG, l'inspection du travail voire même les forces de l'ordre pourraient toutefois venir "aider" les deux parties à s'entendre. Ambiance...