« Il verra bien comment ça se passe, l'autre. » L'autre, c'est Jacky Lorenzetti. Celui qui a signé « immédiatement un mec qui s'est fait virer pour les raisons qu'on connaît». « Ça ne fait pas clean », pense Alain Afflelou. Selon les dires de ce dernier, l'homme fort du Racing Métro serait en quelque sorte coutumier du fait : « L'an dernier, il avait piqué les entraîneurs de Castres. C'est une morale et un mental qui ne sont pas les miens. Je me sens totalement étranger à ces pratiques. » L'homme d'affaire fait en partie référence au fait que le demi de mêlée était apparemment en contact avec le Racing Métro depuis plusieurs mois. « Le club n'est pas son problème. Ce n'est pas professionnel du tout. »
Une sombre histoire qui laisse un goût amer dans la bouche du président du club basque qui termine l'interview par une déclaration caustique vis-à-vis de son homologue francilien : « Je crois qu'il a décidé d'être champion de France puisqu'il a beaucoup d'argent et qu'il paiera ce qu'il faut pour y arriver. On ferait mieux de lui vendre le titre, comme ça, on serait débarrassés. » Voilà qui devrait réchauffer l'ambiance cet hiver.