Mais ce week-end à Londres, « SBW » va un peu mieux. Du moins, il a trouvé le moyen de se mettre en évidence lors des phases de poule face à la Russie. Cette fois, pas de offload venu d'un autre monde, mais un bon vieux tampon digne de ses meilleures années de treiziste. Un plaquage d'autant plus impressionnant que sa « victime », Denis Simplikevich, n’avait rien d’un poids plume (1m92, 100 kilos).
Grâce à une autre victoire sur le Brésil, puis à un match nul face à l'Argentine, les Néo-Zélandais ont terminé en tête de leur poule. Ils affronteront les USA en 1/4 de finale de Cup ce dimanche.