Des fails monumentaux qui s'expliquent par les carences techniques et tactiques des joueurs, dont certains sont des athlètes sélectionnés sur le tri sans être passés par l'école de rugby. Via Rugby365, le Frenchie Jean-Baptiste Gobelet - futur joueur de San Diego - explique : "Ce sont des joueurs qui n’ont pas beaucoup de rugby dans les jambes. Ils sont issus des facultés et ont fait beaucoup de sport. Ils sont rapides mais ils n’ont pas de vécu rugbystique comme en défense et en attaque. Les running back savent défendre en ligne mais généralement, ce sont des joueurs qui ont de grosses défaillances avec les bases du rugby en lui-même. Avec San Diego, on a fait des entraînements comme à l’école de rugby. Ils apprennent les basiques".
Découvrez le résumé vidéo de Denver - Ohio, et jugez du niveau par-vous même. Dans l'autre rencontre, Sacramento a pris le meilleur sur San Francisco, 37 à 25.
Crédit vidéo : Chris Baumann
Une innovation pour le plaquage
Le fait que beaucoup de joueurs "découvrent" le rugby en intégrant le championnat a inspiré une innovation sur le plaquage. Ainsi, une ligne rouge apparaît sur chaque maillot, et symbolise la hauteur maximale autorisée pour les plaquages. N'en déplaise à certains treizistes et autres spécialistes de la manchette tongienne, la ligne se situe bien en dessous des épaules.
Les maillots du @ProRugbyUSA arborent une ligne rouge pour indiquer qu'il faut plaquer en dessous de celle-ci ! pic.twitter.com/kkW4D7Ik5r
— Mathias AC (@mathiascattaneo) 17 avril 2016